Alors que Sébastien et Liliane vous partageaient comment ils vivent l’aventure Nexapp dans la partie 1 de cette série d’articles de blogue, c’est au tour de Vincent et Amélie de prendre la parole. On leur a demandé de nous décrire c’est comment travailler avec nous. Voici ce qu’ils avaient à dire!
Il y a quand même une petite différence entre mon quotidien et celui d’un autre dev, dans le sens où je suis en co-développement, alors mon équipe quotidienne c’est un client.
«On travaille beaucoup avec le framework scrum. On planifie chaque jour ce qu’on va faire, quels sont nos bloquants et comment on peut s’aider.»
Il y a beaucoup d’entraide active aussi, ce qu’on appelle du pair-programming. On se rejoint dans un channel Discord et on s’aide activement à coder. On prend beaucoup le temps de s’arrêter et d’aider les autres. C’est quelque chose que Nexapp propage aussi chez ses clients.
«Il y a aussi toutes les conditions de travail. Par exemple, les horaires flexibles : ça influence beaucoup la vibe, positivement. Si je veux prendre mon après-midi et faire mes heures plus tard, tout le monde est d'accord avec ça. C’est un petit plus pour ma santé mentale des fois.»
Même si Nexapp a grossi, elle ne perd pas son essence. Je pense que ça passe par la confiance envers les gens. Souvent, quand on grossit, on commence à donner des rôles de leader à des gens. Tandis que là, tout le monde est égal et tout le monde peut prendre des responsabilités et des initiatives. Le travail d’équipe est super valorisé.
On a une grande liberté d’explorer les technologies et les différents langages. Quand je suis arrivée, j’ai dit que je voulais faire un peu de scrum mastering et ils m’ont dit OK, fais-le. Ils te font confiance. Il y a même un engouement : on nous encourage à essayer, à explorer et à améliorer Nexapp avec toutes les connaissances qu’on va chercher en allant piger ailleurs.
J’aime beaucoup le comité santé bien-être, surtout en temps de pandémie. L’enjeu que je voulais travailler en m’impliquant c’était la santé mentale.
Best job ever.
La recette, c’est vraiment les gens. Ils fittent ensemble, ils ont tous des personnalités qui sont faciles à aborder, une vraie ouverture d’esprit. Ce sont des gens proactifs : si je demande de l'aide dans le channel dev sur Slack, j’ai 10 personnes qui vont venir me voir!
Quand on fait des bons coups, on les célèbre. On se sent valorisé!
Je me disais si je change, je ne veux pas rechanger dans un an. Je veux trouver une place où je vais me sentir bien et qui va s’accorder avec mes valeurs. Il y a encore beaucoup de préjugés sur les devs et c’est un problème, car on manque de personnes en TI et on manque de diversité et de femmes. Mon critère numéro un quand j'ai commencé à magasiner les jobs, c’était de regarder qui était impliqué avec Mon Avenir TI. J’ai regardé les 57 sociétés membres et je me suis dit ça, c’est mon bassin de choix. Je voulais travailler avec une entreprise qui avait pris le temps de s'investir dans une mission comme ça, parce que je savais que ça allait être aligné avec mes valeurs.
«Nexapp, j’avais toujours entendu de bons commentaires. Et quand j’ai regardé le site web, je voyais de la qualité. Me faire dire dans un projet que je n’ai pas le temps de faire des tests, je trouvais que ça ne faisait pas de sens. Je voyais chez Nexapp que c’était beaucoup plus valorisé.»
Il y a 2 choses majeures. Premièrement, c’est vraiment la proximité avec le côté plus business : avec nos rencontres trimestrielles, les boss sont super transparents sur ce qui marche et ce qui ne marche pas, les ventes, qui travaille sur quoi, etc. Moi j’aime beaucoup la proximité et la transparence de la compagnie ainsi que de comprendre la machine.
«Par exemple, dans mon dernier projet, le fait que ce soit aussi transparent et que je comprenne ce qui se passe, ça m’a permis parfois de lever la main dans une réunion, car je voyais une opportunité d’affaires, ce qui n’est techniquement pas la job d’un développeur.»
Nexapp ne peut pas deviner qu’il y a une opportunité d’affaires, car ils ne sont pas dans toutes nos réunions. Je trouve que ça fait qu’on travaille vraiment en équipe tout le monde ensemble. Ce n’est pas du travail en silo, par exemple. Je ne me suis jamais fait dire : ce n’est pas ta tâche, occupe-toi pas de ça.
Deuxièmement, chaque personne qui fait partie de l’équipe chez Nexapp. Dès que tu as une question, tu as plusieurs personnes qui vont te répondre. C’est la disponibilité et le bon vouloir des gens. D’avoir le temps, c’est une chose, mais de vouloir prendre le temps, ça en est une autre. Je l’ai vraiment senti à différentes reprises avec plusieurs personnes dans l’entreprise.
Une des choses que j’aime beaucoup c’est que même si je suis une dev, j’ai des compétences qui sont différentes des devs plus généraux. Et ça se reflète dans mes one-on-one avec Claudie, mes revues annuelles, etc. J’aime vraiment ça, car c’est adapté à moi et mes compétences.
Aussi, je me sens vraiment appuyée comme dev quand Nexapp s’en va parler au client pour dire «hey, ça va te prendre des tests, mon dev te dit qu’il faut que tu mettes à jour tes affaires et qu’il faut que tu fasses ça, ben fais-le». Ils nous font confiance là-dessus. C’est exactement ce que je cherchais.
Quand on est dans un projet, on se demande comment on peut s’assurer de mieux faire. Et des fois, Nexapp n’a pas peur de reculer de 3 pas pour réavancer de 10 pour prendre le temps d’évaluer si c’est vraiment la bonne solution avant qu’on avance de nouveau. Moi en tout cas, c’est vraiment ce que j’aime. Livrer du code, n’importe qui peut le faire, mais le « comment », c’est super important pour la pérennité des projets. Aussi, le temps supplémentaire n’est pas valorisé. Tu n’es pas obligée de te pousser à bout. Par exemple, si tu as fait une semaine de fou de 12 heures par jour, il n’y a personne qui va te dire bravo. Au contraire, les gens vont te dire « oh, repose-toi, sois en forme! » C’est le beau mélange entre repousser ses limites et se respecter.
Je dirais l’ambiance générale : tout le monde y apporte du sien. On a beaucoup d’activités organisées et je trouve qu’il y en a un peu pour tous les goûts. Aussi, j'ai été agréablement surprise de voir les boss participer aux activités. Il n’y a pas de snobisme ou de hiérarchie, tout le monde est ensemble, on s’amuse, on a du fun. On est encouragé à avoir d’autres passions que le travail et on les partage à travers nos channels sur Slack.
«Et en tant que femme en tech, je ne sens pas que mes opinions sont dénigrées ou que je compte moins parce que je suis une femme.»
C’est que nous sommes des êtres humains. On n’est pas du jus de bras ou des moyens de facturer. On ne se mettra pas à engager n’importe qui juste parce qu’on manque de monde. On va dire non à des projets avant ça pour s’assurer de conserver une synergie d’équipe et une ambiance agréable pour que les gens qui travaillent là aiment leur job. Chaque personne est un être humain et non un poste à combler.
Tu as aimé cet article? Va voir la partie 3 où Alexandre et David décrivent c’est comment travailler chez Nexapp!
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